- n° 297 - pp.47-56
Dans notre société de l'image, ce que l'on donne à voir, notre "apprêtement", est surinvesti. La précarité, source de dévalorisation de l'image de soi, génère des blessures psychosociales. Comment les assistantes de service social, en raison de leurs missions et de leur positionnement personnel vis-à-vis du féminisme, prennent-elles en compte les questions de l'apparence ? [Présentation de l'éditeur]
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