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Documents Incivilité 4 résultats

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Q
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V
- n° 245 - 159 p.
La succession des textes présentés ici cherche davantage à éclaire la place donnée à la jeunesse dans notre société au fil du temps qu'à proposer une analyse longitudinale de ce que sont ou ont été les politiques de jeunesse depuis 20 ans. Ces textes offrent, en définitive, une exploration du rapport qui peut exister, ou qui a pu exister, entre le fait urbain et la jeunesse et ce, notamment dans la manière dont ce lien est entrepris dans les politique publiques. En cela, le propos consiste à aborder sous des angles divers la manière dont les politiques de jeunesse et de façon général, les politiques publiques agissent pour, avec, et parfois, contre les jeunes[-]
La succession des textes présentés ici cherche davantage à éclaire la place donnée à la jeunesse dans notre société au fil du temps qu'à proposer une analyse longitudinale de ce que sont ou ont été les politiques de jeunesse depuis 20 ans. Ces textes offrent, en définitive, une exploration du rapport qui peut exister, ou qui a pu exister, entre le fait urbain et la jeunesse et ce, notamment dans la manière dont ce lien est entrepris dans les ...[+]

JEUNEVILLEURBANISMEGRAFFITIHIP-HOP...

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H
- n° 90 - pp. 9-134
Il ne se passe pas un jour sans que ne s'expriment des injures ou des insultes. Que ce soit dans la bouche d'adultes, d'enfants, de jeunes, dans l'espace public ou dans la sphère privée, et même dans des domaines considérés comme sanctuarisés, elles font partie intégrante du langage et des interactions ordinaires. Belles ou ordurières, audacieuses et provocantes ou foncièrement agressives, directes ou travesties, etc., les insultes et les injures se déclinent en tant de formes et de modalités d'expression qu'elles en ont acquis une immense richesse.
Mais comment les reconnaître, comment les comprendre ? S'agit-il d'un jeu ou participent-elles d'une authentique intention d'agresser et de blesser ? Sont-elles parfois légitimes, ou relèvent-elles systématiquement d'une transgression ? Et si énoncer une insulte n'était pas une condition suffisante pour insulter : y a-t-il bien insulte si un tel acte de langage n'est pas reçu ou perçu comme tel ?
Cela étant, quels que soient l'époque, le lieu, le contexte, il est manifeste qu'injures et insultes ont toujours fait partie des différents registres et dispositions des échanges verbaux : car injurier une personne en lui adressant des paroles offensantes, ou l'insulter en cherchant à l'outrager apparaissent universels… un universel dont le présent numéro cherche à éclairer certaines facettes.
Et que celui qui n'a jamais insulté nous jette sa première injure ! [Présentation de l'éditeur][-]
Il ne se passe pas un jour sans que ne s'expriment des injures ou des insultes. Que ce soit dans la bouche d'adultes, d'enfants, de jeunes, dans l'espace public ou dans la sphère privée, et même dans des domaines considérés comme sanctuarisés, elles font partie intégrante du langage et des interactions ordinaires. Belles ou ordurières, audacieuses et provocantes ou foncièrement agressives, directes ou travesties, etc., les insultes et les ...[+]

INSULTEINSTITUTIONVIOLENCELANGAGEHANDICAP...

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V
Nul n'apprécie qu'on vienne limiter son champ d'action ou lui imposer des contraintes, et l'instauration du passe sanitaire l'a bien montré. Mais il suffit que mon voisin écoute de la musique à tue-tête pour que je souhaite que sa liberté soit bornée. Comment rendre compatibles entre elles les libertés individuelles ? Suffit-il vraiment de rappeler le dicton « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » ?
j'ai le droit de faire toutes les folies que je veux, d'adopter une conduite que les autres jugent bizarre, voire inacceptable, tant que je ne nuis pas à autrui. Ce critère permet-il de définir plus précisément l'étendue du possible en démocratie ?
Plus près de nous, le philosophe américain Joel Feinberg (1926-2004) s'est intéressé aux comportements injurieux ou très dérangeants, sans qu'il y ait néanmoins préjudice. Au-delà de la nuisance, il s'est penché sur le registre de l'offense, comme le montre sa célèbre expérience de pensée du « trajet de bus ». À tester !
nos cinq témoins ont décidé de défendre farouchement l'une de leurs libertés. Leurs trajectoires de vie sont commentées par la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury.
Sur la politique sanitaire, le blasphème et l'affaire Mila, ou encore le slogan « Libertés chéries » choisi par le Rassemblement national en campagne, nous avons invité les philosophes Gaspard Koenig et Raphaël Enthoven à débattre. Le premier considère que le noyau dur réside dans la possibilité offerte à chacun de se mettre en retrait ou d'assumer les conséquences de ses choix, tandis que le second lui répond que la liberté est produite par l'état de droit et les institutions. Un duel entre libéralisme et républicanisme. [Présentation de l'éditeur][-]
Nul n'apprécie qu'on vienne limiter son champ d'action ou lui imposer des contraintes, et l'instauration du passe sanitaire l'a bien montré. Mais il suffit que mon voisin écoute de la musique à tue-tête pour que je souhaite que sa liberté soit bornée. Comment rendre compatibles entre elles les libertés individuelles ? Suffit-il vraiment de rappeler le dicton « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » ?
j'ai le droit de faire toutes ...[+]

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