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V
- 327 p.
Cote : F 53.1 LEP
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité.
Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.[-]
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont ...[+]

CONDITIONS DE TRAVAILCRECHECRECHE COLLECTIVEENFANT MALTRAITEEtablissement d'accueil du jeune enfant...

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V
- n° 436-437 - pp. 24-53
Cela fait des années que les économistes sont engagés dans ce débat. D'un côté, il y a celles et ceux qui expliquent que la France est devenue un enfer néolibéral aux conséquences désastreuses. De l'autre, on leur rétorque qu'avec un niveau de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires régulièrement classé parmi les plus élevés du monde, nous restons dans une économie ultrasocialisée et le mythe de la France libérale n'est justement que cela : un mythe. Alors, nous avons voulu en avoir le cœur net. La France s'est-elle oui ou non engagée dans la voie libérale ? La réponse est clairement positive. Au cours des quarante dernières années, la place de l'État dans l'économie a nettement reculé : libéralisation de la finance, du marché du travail, privatisations, chute de l'investissement public, etc., la dynamique libérale est bien présente.
Pour autant, elle est loin d'avoir tout emporté. En dépit des attaques répétées contre notre modèle social, il continue à faire de la résistance, raison pour laquelle il représente la dernière cible des libéraux. Les services publics ont été dégradés, mais contribuent encore à la réduction des inégalités. Enfin, les temps semblent changer, au détriment des idées libérales. Tant mieux[-]
Cela fait des années que les économistes sont engagés dans ce débat. D'un côté, il y a celles et ceux qui expliquent que la France est devenue un enfer néolibéral aux conséquences désastreuses. De l'autre, on leur rétorque qu'avec un niveau de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires régulièrement classé parmi les plus élevés du monde, nous restons dans une économie ultrasocialisée et le mythe de la France libérale n'est justement que ...[+]

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