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Documents CHAVAGNEUX, Christian 38 résultats

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V
- n° n° 352
Même si la France s'est unie contre le terrorisme, les tensions n'en ont pas pour autant disparu. [Présentation de l'éditeur]

FINANCEMENTISLAMLOIVIE POLITIQUESECURITE...

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V
- n° 436-437 - pp. 24-53
Cela fait des années que les économistes sont engagés dans ce débat. D'un côté, il y a celles et ceux qui expliquent que la France est devenue un enfer néolibéral aux conséquences désastreuses. De l'autre, on leur rétorque qu'avec un niveau de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires régulièrement classé parmi les plus élevés du monde, nous restons dans une économie ultrasocialisée et le mythe de la France libérale n'est justement que cela : un mythe. Alors, nous avons voulu en avoir le cœur net. La France s'est-elle oui ou non engagée dans la voie libérale ? La réponse est clairement positive. Au cours des quarante dernières années, la place de l'État dans l'économie a nettement reculé : libéralisation de la finance, du marché du travail, privatisations, chute de l'investissement public, etc., la dynamique libérale est bien présente.
Pour autant, elle est loin d'avoir tout emporté. En dépit des attaques répétées contre notre modèle social, il continue à faire de la résistance, raison pour laquelle il représente la dernière cible des libéraux. Les services publics ont été dégradés, mais contribuent encore à la réduction des inégalités. Enfin, les temps semblent changer, au détriment des idées libérales. Tant mieux[-]
Cela fait des années que les économistes sont engagés dans ce débat. D'un côté, il y a celles et ceux qui expliquent que la France est devenue un enfer néolibéral aux conséquences désastreuses. De l'autre, on leur rétorque qu'avec un niveau de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires régulièrement classé parmi les plus élevés du monde, nous restons dans une économie ultrasocialisée et le mythe de la France libérale n'est justement que ...[+]

ECONOMIELibéralismePROTECTION SOCIALEINDUSTRIEPRIVATISATION...

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V
- n° 452 - pp. 24-38
Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d'incitation à travailler, d'investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l'inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de recettes fiscales perdues, 2,2 points de PIB selon la Cour des comptes), une productivité en berne, un déficit extérieur qui ne se résorbe pas.
Le nouveau Premier ministre a heureusement changé la donne. Il a commencé par mettre fin au quoi qu'il en perde fiscal. Et, par ses propositions de hausse des prélèvements, il a rouvert un débat démocratique nécessaire sur le bon niveau de contribution des riches et des entreprises au redressement des comptes.
L'Assemblée s'en est saisie et c'est tant mieux. La raideur du ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, qui refuse tout aménagement fiscal du plan gouvernemental, laisse augurer le recours au 49.3. Mais la donne a changé : on peut enfin redébattre des impôts dans notre pays. [Présentation de l'éditeur][-]
Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d'incitation à travailler, d'investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l'inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de ...[+]

CRISE ECONOMIQUEFISCALITEBUDGETPOLITIQUE ECONOMIQUETABOU...

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