En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Type
Type rapport
Promotion
Date de parution
Editeur
Mots-clés

J Plus

Documents CONDITIONS DE TRAVAIL 103 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 464 p.
Cote : K 01 LOU
Tenant à la fois de l'essai et du manuel, l'ouvrage associe réflexions conceptuelles sur le management des organisations, propositions méthodologiques et exemples de terrain pour répondre aux diverses préoccupations du dirigeant d'un service, qu'il s'agisse de positionner son service, de maîtriser l'activité au meilleur coût, de lancer des projets, d'animer une équipe de direction et de cadres, de mobiliser et former ses personnels, d'assurer un climat positif, de définir une organisation et des fonctions.
La préoccupation de l'auteur est plurielle : renoncer au transfert pur et simple de recettes provenant de l'univers industriel tout en s'en inspirant, mais a contrario remettre en cause la "sociale attitude" qui entretient une culture de l'exception dangereusement coupée des réalités sociales et économiques de l'environnement d'aujourd'hui. [Extr. 4e de couv.][-]
Tenant à la fois de l'essai et du manuel, l'ouvrage associe réflexions conceptuelles sur le management des organisations, propositions méthodologiques et exemples de terrain pour répondre aux diverses préoccupations du dirigeant d'un service, qu'il s'agisse de positionner son service, de maîtriser l'activité au meilleur coût, de lancer des projets, d'animer une équipe de direction et de cadres, de mobiliser et former ses personnels, d'assurer un ...[+]

MANAGEMENTCONCEPTACTION SOCIALEETABLISSEMENT SOCIAL ET MEDICO-SOCIALCHANGEMENT...

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 327 p.
Cote : F 53.1 LEP
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité.
Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.[-]
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont ...[+]

CONDITIONS DE TRAVAILCRECHECRECHE COLLECTIVEENFANT MALTRAITEEtablissement d'accueil du jeune enfant...

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- n° 398 - pp. 13-67
Le métier de journaliste connaît aujourd'hui d'inquiétants bouleversements, avec pour conséquence directe une information malmenée : traitement partial ou superficiel, discrédit, ingérence politique, concentration médiatique... Ce dossier ouvre des pistes pour réhabiliter et préserver ce pilier démocratique qu'est l'information.

JOURNALISMEJOURNALMOTIVATIONCONDITIONS DE TRAVAILTEMOIGNAGE...

Lire sur le site

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- n° 161 - pp. 13-70
De moins en moins d'inscrits à Parcoursup dans les professions sociales des effectifs en formation en nette diminution - certaines promos sont à moitié pleines - des établissements qui peinent à trouver des travailleurs sociaux qualifiés…. Une avalanche d témoignages sur les réseaux sociaux de professionnels qui démissionnent, qui n'en peuvent plus des méthodes managériales féroces, qui disent ne plus (re)trouver le sens de leur engagement premier, noyés sous les procédures, évaluations et autres tracasseries incessantes… Que se passe-t-il dans les professions sociales où longtemps le sens de l'engagement et de la solidarité a pu compenser la faible reconnaissance salariale ? Enfin, notons que ça n'est pas seulement les travailleurs du social qui sont gagnés par la morosité ambiante. il ya peut-être une crise générale du rapport au travail. Un peu partout des résistances s'organisent à bas bruit, des inventions naissent, des espoirs demeurent vivants.[-]
De moins en moins d'inscrits à Parcoursup dans les professions sociales des effectifs en formation en nette diminution - certaines promos sont à moitié pleines - des établissements qui peinent à trouver des travailleurs sociaux qualifiés…. Une avalanche d témoignages sur les réseaux sociaux de professionnels qui démissionnent, qui n'en peuvent plus des méthodes managériales féroces, qui disent ne plus (re)trouver le sens de leur engagement ...[+]

EDUCATION SPECIALISEETRAVAIL SOCIALCONDITIONS DE TRAVAILParcours professionnelACCOMPAGNEMENT...

Lire sur le site

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- n° 501 - pp. 33-95
Le travail fut le grand absent du débat sur les retraites, alors que le désir de travailler autrement était au cœur du refus de cette réforme. Si le travail reste une dimension essentielle de la vie sociale, ses réalités se sont diversifiées et fragmentées au point qu'on ne sait plus en débattre. Trop souvent rabattu sur la notion d'emploi, il est pourtant traversé de clivages et d'aspirations, que ce dossier coordonné par Anne Dujin veut contribuer à expliciter. [Présentation de l'éditeur][-]
Le travail fut le grand absent du débat sur les retraites, alors que le désir de travailler autrement était au cœur du refus de cette réforme. Si le travail reste une dimension essentielle de la vie sociale, ses réalités se sont diversifiées et fragmentées au point qu'on ne sait plus en débattre. Trop souvent rabattu sur la notion d'emploi, il est pourtant traversé de clivages et d'aspirations, que ce dossier coordonné par Anne Dujin veut ...[+]

TRAVAILEMPLOISOCIOLOGIE DU TRAVAILVALEUR SOCIALECOUT...

Lire sur le site

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 327 p.
Cote : F 53.1 LEP
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité. Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.[-]
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont ...[+]

CRECHEPROTECTION DE L'ENFANCEENQUETEMALTRAITANCEEPUISEMENT...

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 201 p.
Cote : F 53.1 GAS
Les histoires de ce livre ne sont pas des faits isolés. Repas insuffisants, équipes réduites, bébés maltraités et pression sur les salariés sont les premiers symptômes d'un système à la dérive. Le désengagement des pouvoirs publics, conjugué à la volonté de créer des places coûte que coûte, a ouvert la voie à de nouveaux acteurs privés en quête effrénée de profits.

Les crèches sont aujourd'hui une industrie qui pèse 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Adossés à des fonds d'investissement, des groupes privés se sont taillé des empires. Ils gèrent des milliers de berceaux et leurs fondateurs se sont hissés parmi les plus grandes fortunes de France.

Derrière les brochures aux couleurs pastel et les promesses de pédagogies innovantes ou de repas bio se découvre pourtant une réalité où le bien-être des enfants n'est pas toujours la priorité. Les employées sont sommées de travailler à la chaîne, de minuter chaque changement de couche. Parfois peu formées et souvent sous-payées, elles font, comme les bébés, les frais de l'exigence de rentabilité, à coup d'heures sup' pour combler les postes vacants si nécessaire. On optimise plutôt que d'accueillir.

Auxiliaires de puériculture, directrices de crèches, cadres de grands groupes, parents… Mathieu Périsse et Daphné Gastaldi ont recueilli des centaines de témoignages. Ils racontent un secteur bouleversé par vingt ans de marchandisation de la petite enfance. Et questionnent : les crèches sont-elles un business comme un autre ?

Daphné Gastaldi et Mathieu Périsse sont journalistes d'investigation, au sein du collectif We Report.[-]
Les histoires de ce livre ne sont pas des faits isolés. Repas insuffisants, équipes réduites, bébés maltraités et pression sur les salariés sont les premiers symptômes d'un système à la dérive. Le désengagement des pouvoirs publics, conjugué à la volonté de créer des places coûte que coûte, a ouvert la voie à de nouveaux acteurs privés en quête effrénée de profits.

Les crèches sont aujourd'hui une industrie qui pèse 1,5 milliard d'euros de ...[+]

CRECHESECTEUR PRIVEENQUETEMALTRAITANCEPETITE ENFANCE...

Favoris Imprimer
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- n° 434 - pp. 24-38
Pas sûr qu'un pacte suffise à apaiser la colère. Pour faire oublier le passage en force sur les retraites, Emmanuel Macron tente de reprendre la main. Pas de « grand débat », ni de « convention citoyenne » cette fois-ci. Mais « un nouveau pacte de la vie au travail ».
Sur le papier, l'idée a de quoi séduire : depuis la pandémie, les Français ne sont plus prêts à travailler dans n'importe quelles conditions. Et le rejet d'un travail usant et vide de sens a contribué à alimenter la contestation contre la réforme des retraites.
En principe, le contexte n'a jamais été aussi favorable pour obtenir des concessions de la part des employeurs, car la baisse du chômage redonne du pouvoir aux travailleurs. Mais en pratique, ça coince. Car le président a grillé son capital de crédibilité.
S'il avait été sincère, il aurait dû commencer par là, par s'attaquer aux conditions de travail et d'emploi, celles des seniors en premier lieu, avant de réformer les retraites. C'est ce que réclamaient de façon unanime les syndicats. Sans succès.
Si le chef de l'Etat peine à convaincre, c'est aussi parce qu'il n'a eu de cesse, jusqu'ici, de rééquilibrer le rapport de force en faveur des employeurs, en durcissant les règles de l'assurance chômage pour obliger les chômeurs à accepter n'importe quel emploi. Le bras de fer ne fait que commencer[-]
Pas sûr qu'un pacte suffise à apaiser la colère. Pour faire oublier le passage en force sur les retraites, Emmanuel Macron tente de reprendre la main. Pas de « grand débat », ni de « convention citoyenne » cette fois-ci. Mais « un nouveau pacte de la vie au travail ».
Sur le papier, l'idée a de quoi séduire : depuis la pandémie, les Français ne sont plus prêts à travailler dans n'importe quelles conditions. Et le rejet d'un travail usant et vide ...[+]

CONDITIONS DE TRAVAILEMPLOIREFORMERETRAITEASSURANCE CHOMAGE...

Favoris Imprimer