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Documents FISNE KOCH, Audrey 4 résultats

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Q
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V
- n° 443 - pp. 22-36
Les managers français, tyranniques ? Dit comme ça, ce serait un raccourci trop rapide. Les études montrent pourtant que le management hexagonal ne s'est pas encore débarrassé de ses vieux démons. Les "sachants" continuent de décider pour les "exécutants", sans suffisamment les consulter. Mais ces dernières années, les chefs eux-mêmes se montrent de plus en plus las de l'exercice du pouvoir. Entre la recrudescence des outils numériques et la financiarisation des entreprises, ils sont fatigués de remplir des tableurs à longueur de journée.. In fine, ce sont les conditions de travail de tous qui s'en trouvent dégradées. Sans compter que le "mauvais" management a un coût économique. Or, les études l'attestent, introduire davantage de participation et d'horizontalité permettrait des gains sociaux et économiques : mieux-être au travail, innovation et hausse de la productivité. Alors, on commence quand ?[-]
Les managers français, tyranniques ? Dit comme ça, ce serait un raccourci trop rapide. Les études montrent pourtant que le management hexagonal ne s'est pas encore débarrassé de ses vieux démons. Les "sachants" continuent de décider pour les "exécutants", sans suffisamment les consulter. Mais ces dernières années, les chefs eux-mêmes se montrent de plus en plus las de l'exercice du pouvoir. Entre la recrudescence des outils numériques et la ...[+]

MANAGEMENTPOUVOIRDECISIONENTREPRISECADRE...

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V
- n° 442 - pp. 8-11
Le taux de chômage repart à la hausse. Pour redresser la barre, le gouvernement veut accélérer sa politique de l'emploi, à tout prix

CHOMAGEEMPLOIPOLITIQUE DE L'EMPLOITravailleur âgéASSURANCE CHOMAGE...

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V
- n° 447 - pp. 8-17
17,3 % des salariés français sont payés au salaire minimum, un motif d'insatisfaction pour le gouvernement. Pourtant, cette situation est moins problématique qu'il n'y paraît. [Présentation de l'éditeur]

SMICREVENU MINIMUMSALAIREINFLATIONPOUVOIR D'ACHAT...

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V
- n° 452 - pp. 24-38
Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d'incitation à travailler, d'investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l'inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de recettes fiscales perdues, 2,2 points de PIB selon la Cour des comptes), une productivité en berne, un déficit extérieur qui ne se résorbe pas.
Le nouveau Premier ministre a heureusement changé la donne. Il a commencé par mettre fin au quoi qu'il en perde fiscal. Et, par ses propositions de hausse des prélèvements, il a rouvert un débat démocratique nécessaire sur le bon niveau de contribution des riches et des entreprises au redressement des comptes.
L'Assemblée s'en est saisie et c'est tant mieux. La raideur du ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, qui refuse tout aménagement fiscal du plan gouvernemental, laisse augurer le recours au 49.3. Mais la donne a changé : on peut enfin redébattre des impôts dans notre pays. [Présentation de l'éditeur][-]
Sept ans que le débat démocratique sur les impôts était devenu un débat interdit. Le poujado-fiscalisme des gouvernements Macron successifs ne pointait que dans une seule direction : les baisses de prélèvements obligatoires. A la clé, on nous promettait plus d'incitation à travailler, d'investissements, de compétitivité, de croissance, etc.
Le résultat a été tout l'inverse : une dégradation sans précédent des comptes publics (62 milliards de ...[+]

CRISE ECONOMIQUEFISCALITEBUDGETPOLITIQUE ECONOMIQUETABOU...

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