Cet article s'intéresse à la capacité d'un enfant en grande souffrance psychique à être élève et de son enseignant à lui faire classe. Quelles précautions ? Quels soutiens ? Quelles limites ? Quel sens à la scolarisation à plein temps de ces enfants présentés sous le prisme du handicap en mettant sous silence leurs affects ? En tant qu'enseignant, comment accueillir ces enfants sans entretenir le déni de leur souffrance ? Quel rôle avons-nous à jouer pour défendre leur droit à être soigné ? [Présentation de l'éditeur]

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