Le consentement dans l'accompagnement au quotidien : entre bonnes intentions et fausses évidences
Le consentement occupe-t-il la place essentielle qui lui revient dans l'accompagnement des personnes en situation de vulnérabilité, notamment d'un point de vue juridique et éthique ? Quelles sont les faiblesses et les limites de cette notion, surtout dans le secteur social et médico-social qui accompagne des personnes à l'autonomie parfois fortement réduite ? En effet, quelle valeur peut-on accorder au consentement s'il est impossible de le négocier ou si le refus de soins n'est pas envisageable ? Quid des faux consentements, des consentements extorqués, des désaccords non exprimés ou mal entendus/écoutés
CONSENTEMENTETABLISSEMENT SOCIAL ET MEDICO-SOCIALACCOMPAGNEMENTVULNERABILITECONTRAINTE
N° : 582-583
Profil conservation : Toujours
Priorité : Moyenne