En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Date de parution
Editeur
Mots-clés

Documents MARTEAU FASSEL, Karine 1 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- n° n° 226
Lorsque le couple se sépare, les liens se distendent mais ne sont pas immédiatement rompus. En effet, la séparation effective se trouve retardée pour diverses raisons : d'abord parce que l'un des époux - voire les deux - peut ne pas vouloir, au regard de convictions personnelles, envisager de rompre le lien conjugal ensuite parce que les époux peuvent se trouver confrontés aux lenteurs d'une procédure de divorce enfin - et plus généralement - parce que la séparation passe aussi par le retour à l'autonomie financière et patrimoniale, imposant à chacun de décider du partage des biens acquis pendant la vie commune. S'agissant des enfants communs, le législateur de 2002 a limité les effets de la rupture du couple parental en tenant l'enfant éloigné des conflits et des bouleversements engendrés par la désunion de ses parents, consacrant ainsi la notion de coparentalité, et ce dans l'intérêt des enfants. Au-delà, il s'agit également de garantir à l'enfant le maintien des liens qu'il a pu entretenir jusqu'à présent avec chaque composante de son entourage familial (frères et soeurs, grands-parents). [Présentation de l'éditeur][-]
Lorsque le couple se sépare, les liens se distendent mais ne sont pas immédiatement rompus. En effet, la séparation effective se trouve retardée pour diverses raisons : d'abord parce que l'un des époux - voire les deux - peut ne pas vouloir, au regard de convictions personnelles, envisager de rompre le lien conjugal ensuite parce que les époux peuvent se trouver confrontés aux lenteurs d'une procédure de divorce enfin - et plus généralement - ...[+]

AUTORITE PARENTALECONFLITCOUPLEDIVORCEFRATRIE...

Favoris Imprimer