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Documents MALTRAITANCE 107 résultats

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V
- 327 p.
Cote : F 53.1 LEP
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité.
Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.[-]
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont ...[+]

CONDITIONS DE TRAVAILCRECHECRECHE COLLECTIVEENFANT MALTRAITEEtablissement d'accueil du jeune enfant...

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V
- 220 p.
Cote : F 40 LOU
« On ne sait pas quoi faire de nous. Alors on nous déplace sans cesse. Nous sommes des enfants de l'Aide sociale à l'enfance. Des parents, nous n'en avons pas. Ou cassés, hors-service parental. Normalement, l'État est cet ami qui nous veut du bien, nous donne des parents d'appoint pour remplacer les nôtres. Normalement, l'enjeu, c'est notre bonheur. Mais nous sommes des cas sociaux : dans notre monde, « normalement » n'existe pas. Nous ne sommes que des dossiers plus ou moins épais, du papier corrompu à chiffonner et à jeter. À force, nous devenons des bêtes sauvages. Moi, j'ai décidé de me battre, de faire mentir les statistiques, de m'en sortir. C'est cet itinéraire à travers la violence que j'ai voulu raconter, pour en montrer les issues de secours. » Placé à sa naissance et ballotté pendant dix-huit ans de foyers en familles d'accueil, Lyes a traversé l'enfer des enfants livrés aux mains maladroites de l'État. Aujourd'hui, Lyes travaille pour le SAMU social.[-]
« On ne sait pas quoi faire de nous. Alors on nous déplace sans cesse. Nous sommes des enfants de l'Aide sociale à l'enfance. Des parents, nous n'en avons pas. Ou cassés, hors-service parental. Normalement, l'État est cet ami qui nous veut du bien, nous donne des parents d'appoint pour remplacer les nôtres. Normalement, l'enjeu, c'est notre bonheur. Mais nous sommes des cas sociaux : dans notre monde, « normalement » n'existe pas. Nous ne sommes ...[+]

PROTECTION DE L'ENFANCEFOYERTEMOIGNAGEMALTRAITANCEPLACEMENT FAMILIAL...

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V
- 327 p.
Cote : F 53.1 LEP
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité. Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.[-]
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes… Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby…) détiennent la majorité des établissements et se sont ...[+]

CRECHEPROTECTION DE L'ENFANCEENQUETEMALTRAITANCEEPUISEMENT...

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V
- 201 p.
Cote : F 53.1 GAS
Les histoires de ce livre ne sont pas des faits isolés. Repas insuffisants, équipes réduites, bébés maltraités et pression sur les salariés sont les premiers symptômes d'un système à la dérive. Le désengagement des pouvoirs publics, conjugué à la volonté de créer des places coûte que coûte, a ouvert la voie à de nouveaux acteurs privés en quête effrénée de profits.

Les crèches sont aujourd'hui une industrie qui pèse 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Adossés à des fonds d'investissement, des groupes privés se sont taillé des empires. Ils gèrent des milliers de berceaux et leurs fondateurs se sont hissés parmi les plus grandes fortunes de France.

Derrière les brochures aux couleurs pastel et les promesses de pédagogies innovantes ou de repas bio se découvre pourtant une réalité où le bien-être des enfants n'est pas toujours la priorité. Les employées sont sommées de travailler à la chaîne, de minuter chaque changement de couche. Parfois peu formées et souvent sous-payées, elles font, comme les bébés, les frais de l'exigence de rentabilité, à coup d'heures sup' pour combler les postes vacants si nécessaire. On optimise plutôt que d'accueillir.

Auxiliaires de puériculture, directrices de crèches, cadres de grands groupes, parents… Mathieu Périsse et Daphné Gastaldi ont recueilli des centaines de témoignages. Ils racontent un secteur bouleversé par vingt ans de marchandisation de la petite enfance. Et questionnent : les crèches sont-elles un business comme un autre ?

Daphné Gastaldi et Mathieu Périsse sont journalistes d'investigation, au sein du collectif We Report.[-]
Les histoires de ce livre ne sont pas des faits isolés. Repas insuffisants, équipes réduites, bébés maltraités et pression sur les salariés sont les premiers symptômes d'un système à la dérive. Le désengagement des pouvoirs publics, conjugué à la volonté de créer des places coûte que coûte, a ouvert la voie à de nouveaux acteurs privés en quête effrénée de profits.

Les crèches sont aujourd'hui une industrie qui pèse 1,5 milliard d'euros de ...[+]

CRECHESECTEUR PRIVEENQUETEMALTRAITANCEPETITE ENFANCE...

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H
- n° 84 - pp. 27-41
Décrire, en se mettant à la place d'un « usager », la réalité de certaines maltraitances institutionnelles subies est parfois le seul moyen dont on dispose pour tenter de faire percevoir et de faire comprendre que l'absence de normes - s'imposant à l'ensemble des acteurs sans distinction de statut ou de condition - rend possible l'imposition, par qui détient une parcelle de pouvoir à l'égard d'autrui, d'un arbitraire individuel qui est souvent bien plus violent que l'application des normes collectives les plus rigoureuses. [Présentation de l'éditeur][-]
Décrire, en se mettant à la place d'un « usager », la réalité de certaines maltraitances institutionnelles subies est parfois le seul moyen dont on dispose pour tenter de faire percevoir et de faire comprendre que l'absence de normes - s'imposant à l'ensemble des acteurs sans distinction de statut ou de condition - rend possible l'imposition, par qui détient une parcelle de pouvoir à l'égard d'autrui, d'un arbitraire individuel qui est souvent ...[+]

VIOLENCE INSTITUTIONNELLERECIT DE VIEDOMINATIONFAMILLEVALEUR...

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