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V
- 133 p.
Cote : H 47 PON
Le silence des symptômes interroge les politiques publiques dédiées à la santé mentale de l'enfant en France ces 20 dernières années, tant du point de vue des pratiques que des dispositifs de soin, d'éducation et d'intervention sociale.
Fondé sur des données épidémiologiques inédites, des synthèses de la littérature scientifique internationale et les expertises des institutions publiques - dont le récent rapport «Quand les enfants vont mal, comment les aider ? » du Conseil de l'Enfance et de l'Adolescence du HCFEA - l'ouvrage met en exergue un déséquilibre chronique entre la demande et l'offre de soin en santé mentale de l'enfant, ainsi qu'une augmentation continue de la prescription de médicaments psychotropes en population pédiatrique, en contradiction avec les consensus scientifiques, les autorisations de mise sur le marché et les recommandations de prescription.
Considérant les apories des approches biomédicales, standardisées et gestionnaires de la souffrance et des soins psychiques de l'enfant, l'ouvrage ouvre sur les développements sociologiques, épistémologiques et éthiques favorables à la mise en oeuvre d'une véritable écoute de l'enfant sujet.
Face à l'urgence de la situation, face à la souffrance des enfants et au désarroi des parents, face au délitement des services de santé et d'éducation, face à l'épuisement des équipes... des solutions existent.
Le livre insiste alors sur la nécessité des pratiques psychothérapeutiques, éducatives et sociales de première intention dans l'accompagnement des enfants et le soutien des familles. Il invite à l'ouverture des questions de santé mentale aux approches pluridisciplinaires en sciences humaines et sociales, et constitue un plaidoyer consolidé pour des offres de soin accessibles et basées sur le lien, l'écoute et la parole.[-]
Le silence des symptômes interroge les politiques publiques dédiées à la santé mentale de l'enfant en France ces 20 dernières années, tant du point de vue des pratiques que des dispositifs de soin, d'éducation et d'intervention sociale.
Fondé sur des données épidémiologiques inédites, des synthèses de la littérature scientifique internationale et les expertises des institutions publiques - dont le récent rapport «Quand les enfants vont mal, ...[+]

ENFANTADOLESCENCESANTE MENTALESouffrance psychiqueTROUBLE DU COMPORTEMENT...

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V
- n° 284 - pp. 23-79
Peut-on soigner sans prendre le temps d'évoquer avec le patient ce qui le préoccupe, l'angoisse, l'agite, sans se poser avec lui pour découvrir ce qu'il a à nous raconter de son vécu, de son ressenti ? Mais sait-on vraiment ce que signifie écouter ? Comment recevoir cette parole sans timbre, balbutiante, désincarnée, délirante, agressive voire violente ? Que faire de l'innommable ? Il ne s'agit pas seulement d'être le destinataire et le réceptacle de cette parole, comme un contenant passif prêt à tout accueillir. Il faut détoxiquer, reformuler, élaborer, trouver un fil, quelque chose d'un sens possible et partageable.
Ce dossier constitue les actes des 9es Rencontres soignantes en psychiatrie organisées par la revue Santé mentale le 17 octobre 2023 à Paris sur le thème : « “Je vous écoute… ” : comment recevoir la parole du patient ? » [Présentation de l'éditeur][-]
Peut-on soigner sans prendre le temps d'évoquer avec le patient ce qui le préoccupe, l'angoisse, l'agite, sans se poser avec lui pour découvrir ce qu'il a à nous raconter de son vécu, de son ressenti ? Mais sait-on vraiment ce que signifie écouter ? Comment recevoir cette parole sans timbre, balbutiante, désincarnée, délirante, agressive voire violente ? Que faire de l'innommable ? Il ne s'agit pas seulement d'être le destinataire et le ...[+]

ECOUTERELATION SOIGNANT-SOIGNERencontreDISTANCEEMOTION...

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V
- n° Volume 41 - n° 4
Notre expérience clinique ainsi que la recherche montrent que la consommation de produits stupéfiants a un impact sur la grossesse, sur le foetus, sur le lien que les parents construisent entre eux et avec leur enfant. Les parents souffrant d'addiction vivent souvent la grossesse et la naissance comme une nouvelle façon de répondre à leur besoin d'apaiser leurs souffrances que, jusque-là, ils géraient à l'aide des consommations. Le risque est que l'enfant devienne le porteur de cette attente d'apaisement. Nous exposerons ici l'état des recherches au sujet de l'effet des consommations sur le foetus ainsi que l'impact de la grossesse puis de la naissance sur le comportement addict et sur le couple. [Présentation de l'éditeur][-]
Notre expérience clinique ainsi que la recherche montrent que la consommation de produits stupéfiants a un impact sur la grossesse, sur le foetus, sur le lien que les parents construisent entre eux et avec leur enfant. Les parents souffrant d'addiction vivent souvent la grossesse et la naissance comme une nouvelle façon de répondre à leur besoin d'apaiser leurs souffrances que, jusque-là, ils géraient à l'aide des consommations. Le risque est ...[+]

ACCOMPAGNEMENTADDICTIONATTACHEMENTENFANT PLACEFAMILLE D'ACCUEIL...

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V
Les drogues et les phénomènes d'addiction sont un problème majeur de santé publique, avec un coût social estimé à 120 milliards d'euros pour les drogues licites (tabac, alcool) et 8,8 milliards pour les substances illicites (cannabis, cocaïne...). Comment les pouvoirs publics cherchent-ils à lutter contre ces phénomènes ? [Présentation de l'éditeur]

CANNABISCOCAINEPREVENTIONPSYCHOTROPEREDUCTION DES RISQUES...

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V
Poser la question de la médicalisation dans l'accompagnement éducatif et social amène à interroger le fonctionnement, ainsi que les aspirations des professions du social. Nous pourrions supposer in fine que les pratiques médicalisantes grandissantes n'auraient pour seule visée et unique intérêt que le souci de soigner, et il apparaît d'ailleurs difficile de négliger cette idée. Mais l'utilisation quelquefois abusive du médicament dans les pratiques quotidiennes et la présence excessive d'une terminologie médicalisante dans les propos des professionnels ne peut que nous inviter, par souci de prudence, à interroger la place de ces nouveaux savoirs. La question dès lors devient subtile. En effet, comment discerner ce qui relève du soin et du bien-être du patient, de la marchandisation et du management du travail social ? Il est important d'en débattre, car le choix de prioriser les discours médicalisants et son corollaire, la consommation de médicaments, ne doit pas être présentée comme non discutable au regard des résultats attendus et échapper à des alternatives de soins, d'accompagnement social ou de pratiques éducatives. Le risque serait que le processus de médicalisation s'impose par une approche pragmatique et rationnelle qui ne tiendrait pas compte de la réalité des contextes sociaux des individus. Dès lors, comment comprendre la place que peut prendre un accompagnement social et éducatif au regard de l'évolution croissante des processus de médicalisation et de l'emploi des psychotropes ? [Présentation de l'éditeur][-]
Poser la question de la médicalisation dans l'accompagnement éducatif et social amène à interroger le fonctionnement, ainsi que les aspirations des professions du social. Nous pourrions supposer in fine que les pratiques médicalisantes grandissantes n'auraient pour seule visée et unique intérêt que le souci de soigner, et il apparaît d'ailleurs difficile de négliger cette idée. Mais l'utilisation quelquefois abusive du médicament dans les ...[+]

ACCOMPAGNEMENT SOCIALARTCMPPCOLERECONTROLE SOCIAL...

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V
Les pratiques psychothérapeutiques, éducatives et sociales sont recommandées en première intention dans le soin psychique de l'enfant et l'accompagnement des familles. Or, la réduction inexorable des moyens humains et financiers alloués à la pédopsychiatrie en France ces trente dernières années a conduit à creuser un abîme entre l'offre et les demandes de soin. Ce délitement du soutien alloué aux pratique psychothérapeutiques et socioéducatives a été légitimé par la diffusion de conceptions biomédicales de la souffrance psychique des enfants, avec pour conséquence une augmentation inexorable de la consommation de médicaments psychotropes, et la substitution progressive des pratiques de première intention pour des dispositifs médicamenteux. [Présentation de l'éditeur][-]
Les pratiques psychothérapeutiques, éducatives et sociales sont recommandées en première intention dans le soin psychique de l'enfant et l'accompagnement des familles. Or, la réduction inexorable des moyens humains et financiers alloués à la pédopsychiatrie en France ces trente dernières années a conduit à creuser un abîme entre l'offre et les demandes de soin. Ce délitement du soutien alloué aux pratique psychothérapeutiques et socioéducatives ...[+]

ADOLESCENCECLASSE SOCIALEENFANTHyperactivitéPSYCHIATRIE INFANTILE...

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V
- n° 288 - pp. 25-87
Dans le champ de la santé mentale, le rétablissement semble être une cause entendue. Mais qu'en est-il de la mise en œuvre voire de la compréhension même de ce paradigme ? Adopter des pratiques réellement orientées rétablissement reste une démarche exigeante, qui comporte un élément central, celui de la participation des usagers à tous les niveaux. Comment ancrer concrètement et durablement ce modèle ? Analyses et retours d'expériences. [Présentation de l'éditeur][-]
Dans le champ de la santé mentale, le rétablissement semble être une cause entendue. Mais qu'en est-il de la mise en œuvre voire de la compréhension même de ce paradigme ? Adopter des pratiques réellement orientées rétablissement reste une démarche exigeante, qui comporte un élément central, celui de la participation des usagers à tous les niveaux. Comment ancrer concrètement et durablement ce modèle ? Analyses et retours d'expériences. ...[+]

SANTE MENTALERétablissementCITOYENNETESOINEPISTEMOLOGIE...

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