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Documents ANTIQUITE 2 résultats

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V
- n° Hors-Série N° 15 - 128 p.
Tous les enfants du monde se mettent à parler sans qu'il soit besoin de leur apprendre à le faire. Il en va du langage comme de la société : nous les pratiquons tous les jours sans avoir besoin d'y penser. La linguistique comme la sociologie sont des sciences récentes.
Pourtant, les philosophes n'ont pas attendu leur naissance pour soulever des questions qui, sous des dehors différents, ont traversé les siècles et restent encore ouvertes aujourd'hui. Elles sont au moins au nombre de trois : le langage est-il à l'image de nos pensées ? Quel rapport a-t-il avec la réalité du monde ? Quels sont ses usages légitimes ?
Au Moyen Âge, cette question donne lieu à la querelle des universaux, puis le 19e siècle européen placera l'étude des langues au centre de ses soucis. Le 20e siècle, voit se déployer un débat entre les partisans d'une vue « mentaliste » du langage et ceux pour qui il est avant tout un des moyens de communiquer et d'agir sur le monde. Et c'est désormais avec l'aide des sciences naturelles et des sciences cognitives que linguistes et philosophes peuvent compter pour éclairer cette question. [-]
Tous les enfants du monde se mettent à parler sans qu'il soit besoin de leur apprendre à le faire. Il en va du langage comme de la société : nous les pratiquons tous les jours sans avoir besoin d'y penser. La linguistique comme la sociologie sont des sciences récentes.
Pourtant, les philosophes n'ont pas attendu leur naissance pour soulever des questions qui, sous des dehors différents, ont traversé les siècles et restent encore ouvertes ...[+]

LANGUELANGAGEApproche historiqueLINGUISTIQUECHANGEMENT...

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V
- n° 365 - pp. 45-76
« Les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu'il réside dans la façon de la gravir », disait le philosophe chinois Confucius. Parfois, on s'imagine le bonheur dans des contrées inaccessibles, alors qu'il se trouve là, devant notre porte. Et la quête recèle plus de joyaux que l'aboutissement. Ces dernières années, les recherches dans ce domaine ont pris une ampleur phénoménale. Psychologues, sociologues, ethnologues, historiens ont rejoint les philosophes et poètes jusque-là maîtres en la matière. Tous tentent de décrire la spécificité des gens heureux, cette petite chose qu'ils ont en plus. Le bonheur peut-il s'apprendre, ou sommes-nous tributaires des seules circonstances ? Quelles sont les grandes attitudes humaines qui le favorisent ? Les réponses sont-elles universelles, ou diffèrent-elles selon les cultures ? Ce dossier pluridisciplinaire, éclairé par de récents travaux de recherche, offre des sources et des ressources pour approcher cet idéal que les Anciens appelaient « la vie heureuse ». [Présentation de l'éditeur][-]
« Les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu'il réside dans la façon de la gravir », disait le philosophe chinois Confucius. Parfois, on s'imagine le bonheur dans des contrées inaccessibles, alors qu'il se trouve là, devant notre porte. Et la quête recèle plus de joyaux que l'aboutissement. Ces dernières années, les recherches dans ce domaine ont pris une ampleur phénoménale. Psychologues, sociologues, ...[+]

BONHEURPHILOSOPHIEANTIQUITEPSYCHOLOGIEDEVELOPPEMENT PERSONNEL...

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