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H
- 333 p.
Cote : G 10 FON
Après avoir été annoncée, la bombe sociale du logement est en train d'exploser sous nos yeux et la crise du logement s'accélère de manière très inquiétante, comme le souligne le 29e rapport annuel sur l'état du mal-logement de la Fondation.

LOGEMENTPAUVRETEPRECARITE SOCIALEINSALUBRITEHABITAT...

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V
- 223 p.
Cote : G 00 SAB
"Quand on n'est pas propriétaire à 50 ans, on a raté sa vie" , "Habiter une maison individuelle, c'est l'avenir" , "Le Covid a provoqué un exode urbain" , "Dans vingt ans on ne construira plus rien, on ne fera que rénover" ...
La crise du logement n'est pas une vue de l'esprit. Pourquoi, alors, la question n'occupe-t-elle pas, dans le débat public, la place qu'elle mériterait­ ? La situation pourrait changer car, si l'habitat est coûteux pour chacun et chacune d'entre nous, il l'est aussi pour la planète.
Passant en revue près de soixante-dix idées fausses sur l'habitat, de la ville à la maison, du plus partagé au plus intime, Catherine Sabbah décrypte les représentations collectives qui se transmettent de génération en génération­ : de la mauvaise réputation du logement social à l'idéal que représenterait la propriété, en passant par les débats sur les bienfaits de la cuisine ouverte ou le coût avantageux des maisons individuelles. [Extr. 4e de couv.][-]
"Quand on n'est pas propriétaire à 50 ans, on a raté sa vie" , "Habiter une maison individuelle, c'est l'avenir" , "Le Covid a provoqué un exode urbain" , "Dans vingt ans on ne construira plus rien, on ne fera que rénover" ...
La crise du logement n'est pas une vue de l'esprit. Pourquoi, alors, la question n'occupe-t-elle pas, dans le débat public, la place qu'elle mériterait­ ? La situation pourrait changer car, si l'habitat est coûteux pour ...[+]

AIDE AU LOGEMENTBIDONVILLEColocationCOPROPRIETEENERGIE...

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V
- 344 p.
Cote : F 82 SAD
Conçu comme une immersion dans la vie quotidienne d'un Centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), cet ouvrage donne la parole aux résidents de ces structures. Ils y racontent la violence et la solidarité entre eux, les liens ambivalents aux travailleurs sociaux, leur besoin de "repos d'abord" et les attachements aux lieux.
Dans un contexte de politiques sociales en pleine mutation, qui privilégient l'accès direct au logement et remettent en cause l'hébergement social, Cédric Sadin-Cesbron, avec le concours de quatre résidents, documente la façon dont nombre d'entre eux "font comme chez eux" en CHRS, passant du statut d'hébergés à l'état d'habitants. Ainsi les injonctions à des temporalités de séjours "maîtrisées", en raison de la nature provisoire des places d'hébergement, génèrent des tensions entre tous les acteurs impliqués : pouvoirs publics financeurs, institution gestionnaire, travailleurs sociaux de terrain et, enfin, hébergés eux-mêmes.
Au-delà du simple constat, cet ouvrage propose une réflexion sur les politiques d'insertion, basées sur l'injonction à l'autonomie, telles qu'elles sont menées depuis les années 1980, et trace des pistes de travail pour repenser l'hébergement social sous le prisme de l'habitat, afin de le rendre à la fois plus efficient, digne et bientraitant. [4ème de couv.][-]
Conçu comme une immersion dans la vie quotidienne d'un Centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), cet ouvrage donne la parole aux résidents de ces structures. Ils y racontent la violence et la solidarité entre eux, les liens ambivalents aux travailleurs sociaux, leur besoin de "repos d'abord" et les attachements aux lieux.
Dans un contexte de politiques sociales en pleine mutation, qui privilégient l'accès direct au logement et ...[+]

CHRSVIE QUOTIDIENNERECHERCHE-ACTIONEDUCATEUR SPECIALISETEMOIGNAGE...

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H
- n° 397 - pp. 11-63
Santé, logement, revenu de solidarité… Aujourd'hui, en France, des millions de personnes en précarité peinent à accéder à leurs droits. Le fossé entre ces personnes et l'action publique se creuse. Parmi celles qui pourraient toucher le RSA, 34 % ne le perçoivent pas. Ce constat, partagé par le Conseil d'État et les acteurs associatifs, appelle à recréer de la proximité avec les personnes en précarité. C'est le défi de l'« aller vers ».
L'expression désigne, pour les acteurs de l'action sociale, le fait de rencontrer les plus pauvres sur leur lieu de vie : à domicile, dans la rue, dans les squats ou les bidonvilles. Rappelons qu'en France, une personne seule est considérée comme pauvre si son revenu disponible est inférieur à 1 211 euros par mois (60 % du niveau de vie médian), comme très pauvre s'il est inférieur à 807 euros par mois (40 % du niveau de vie médian) d'après le rapport 2023 du Secours catholique-Caritas France.
Les objectifs de l'« aller vers » sont donc louables : lutter contre le non-recours (p. 20), comprendre les besoins et redonner du pouvoir d'agir aux plus précaires. Qui serait contre ?[Présentation de l'éditeur][-]
Santé, logement, revenu de solidarité… Aujourd'hui, en France, des millions de personnes en précarité peinent à accéder à leurs droits. Le fossé entre ces personnes et l'action publique se creuse. Parmi celles qui pourraient toucher le RSA, 34 % ne le perçoivent pas. Ce constat, partagé par le Conseil d'État et les acteurs associatifs, appelle à recréer de la proximité avec les personnes en précarité. C'est le défi de l'« aller vers ».
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PAUVRETESANTEAccès aux droitsACTION SOCIALESDF...

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H
- n° 133 - pp. 126-134
Le déplacement des sujets vieillissants est un indicateur d'autonomie, un opérateur de la culture domestique et la médiation obligée de l'accès au « marché du3e âge », mais aussi facteur de la validation de soi comme concitoyen à part entière. Une enquête confirme les effets de l'avancée en âge sur la réduction des déplacements, mais un usage fréquent de l'automobile dans les jeunes générations de retraités permet d'entretenir plus long-temps la sociabilité, de conforter l'ouverture sur le monde et offre l'engagement dans des formes du vieillir ancrées dans l'autonomie. [Présentation de l'éditeur][-]
Le déplacement des sujets vieillissants est un indicateur d'autonomie, un opérateur de la culture domestique et la médiation obligée de l'accès au « marché du3e âge », mais aussi facteur de la validation de soi comme concitoyen à part entière. Une enquête confirme les effets de l'avancée en âge sur la réduction des déplacements, mais un usage fréquent de l'automobile dans les jeunes générations de retraités permet d'entretenir plus long-temps la ...[+]

PERSONNE AGEEMOBILITE GEOGRAPHIQUESOCIABILITEVIEILLISSEMENTHABITAT...

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- n° n° 3076
Pour bénéficier de l'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ou de l'allocation supplémentaire d'invalidité (ASI), les assurés sont notamment soumis à des conditions de résidence et de régularité de séjour. Une récente circulaire est venue préciser ces conditions. [Présentation de l'éditeur]

ASPADROITENVIRONNEMENTHABITATIDENTITE...

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V
- n° vol. 40 - n° 2
La situation de précarité économique de certaines familles bénéficiant d'une mesure de SAMAD nous a amenés à proposer la thérapie familiale à domicile. L'isolement social et géographique, le manque de revenus ne permettent pas aux familles demandeuses de se rendre dans les lieux de consultation. De fait, nous avons coconstruit une procédure d'intervention nommée « script thérapeutique improvisé ». Ce dernier propose, pour chaque séance, de sculpter les places de chacun afin que le système familial puisse explorer des situations nouvelles dans une ambiance sécure. Cette procédure thérapeutique permet à la fois de respecter l'intimité de la famille tout en créant un espace propice au changement. [Présentation de l'éditeur][-]
La situation de précarité économique de certaines familles bénéficiant d'une mesure de SAMAD nous a amenés à proposer la thérapie familiale à domicile. L'isolement social et géographique, le manque de revenus ne permettent pas aux familles demandeuses de se rendre dans les lieux de consultation. De fait, nous avons coconstruit une procédure d'intervention nommée « script thérapeutique improvisé ». Ce dernier propose, pour chaque séance, de ...[+]

ASEESPACEFAMILLEHABITATINTERVENTION A DOMICILE...

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V
- n° n° 144
Drôle d'époque ! Après des mois de télétravail forcé, l'activité se cherche et se redéfinit entre le bureau et la maison. Serait-ce que la pandémie de Covid-19 est en train d'accélérer un phénomène déjà en cours : la fin de l'emploi du temps compartimenté, la fusion du travail et de la vie ? Le regard des sociologues Anne Lambert et Caroline Closon et des philosophes Pascal Chabot et Yves Citton.
s'il permet de continuer à faire ce qu'on sait déjà faire à distance, comment former des jeunes ? Accueillir des nouveaux ? Démarrer des aventures ? Anne-Sophie Moreau se demande si ce n'est pas la fin des débuts.
Si je travaille chez moi, mon employeur ne devrait-il pas me verser une partie de mon loyer ? N'ai-je pas besoin de quelques mètres carrés en plus ? Comment se redéfinit le rapport aux espaces ? Réponses de l'architecte Éric de Thoisy, de l'avocat Jonathan Cadot, de la secrétaire générale de la CFDT Catherine Pinchaut et de salariés convaincus.
Une peintre, un chercheur revenant d'une mission au pôle Sud, une famille d'accueil de la Ddass et un berger nous donnent leurs conseils, eux qui ont engagé toute leur existence dans un métier.
Finalement, n'y a-t-il pas un potentiel d'émancipation et de libération de la créativité dans cette période atypique ? Pour en débattre, nous avons confronté la philosophe Julia de Funès, qui connaît bien le monde de l'entreprise, et le sociologue au Collège de France Pierre-Michel Menger. [Présentation de l'éditeur][-]
Drôle d'époque ! Après des mois de télétravail forcé, l'activité se cherche et se redéfinit entre le bureau et la maison. Serait-ce que la pandémie de Covid-19 est en train d'accélérer un phénomène déjà en cours : la fin de l'emploi du temps compartimenté, la fusion du travail et de la vie ? Le regard des sociologues Anne Lambert et Caroline Closon et des philosophes Pascal Chabot et Yves Citton.
s'il permet de continuer à faire ce qu'on sait ...[+]

ALIENATIONAMENAGEMENT DU TEMPSFAMILLE D'ACCUEILHABITATINNOVATION...

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