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Documents LHERETE, Héloise Coord. 3 résultats

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V
- n° 364 - pp. 29-87
La littérature a toujours eu l'ambition de raconter le monde. Au 19e siècle, Honoré de Balzac entendait faire concurrence à l'état civil. Gustave Flaubert passait un temps fou à vérifier l'exactitude de ses descriptions. Émile Zola considérait son rôle comme celui d'un savant qui se consacre à l'étude de la société. Qu'en est-il aujourd'hui ? Les écrivains se ressaisissent des questions sociales et entendent faire valoir leur singularité pour penser l'histoire du temps présent. Ils se documentent, scrutent nos environnements, éprouvent nos liens – amicaux, amoureux, familiaux, sociaux… -, racontent les mobilités sociales et les vulnérabilités, donnent forme à nos inquiétudes, rêves et désirs. En racontant les individus d'aujourd'hui, leurs œuvres nous informent sur les obsessions et non-dits de notre époque. En croisant analyses de chercheurs et regards d'écrivains, ce dossier propose une vue d'ensemble inédite de cette nouvelle littérature française. [Présentation de l'éditeur][-]
La littérature a toujours eu l'ambition de raconter le monde. Au 19e siècle, Honoré de Balzac entendait faire concurrence à l'état civil. Gustave Flaubert passait un temps fou à vérifier l'exactitude de ses descriptions. Émile Zola considérait son rôle comme celui d'un savant qui se consacre à l'étude de la société. Qu'en est-il aujourd'hui ? Les écrivains se ressaisissent des questions sociales et entendent faire valoir leur singularité pour ...[+]

SOCIETELITTERATURETEMOIGNAGEHISTOIRE SOCIALEREPRESENTATION SOCIALE...

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V
- n° 361 - pp. 41-72
Quitter la ville pour se mettre au vert, se reconvertir, forger un projet qui ait du sens : sept Français sur dix disent envisager de changer de vie. Ce phénomène n'est pas nouveau. Au fil des siècles, nombreux ont été les hommes et les femmes à tout quitter pour tenter d'autres modes d'existence. Mais il semble aujourd'hui relever de l'injonction collective, tant le changement personnel est valorisé par notre société qui célèbre la mobilité, l'ambition, la capacité de s'adapter et se transformer.
Qu'est-ce qui active le désir de changement ? S'agit-il d'un besoin fondamental, inscrit au cœur de la nature humaine, ou d'une incitation sociale ? Jusqu'où pouvons-nous infléchir notre trajectoire ? Comment expliquer que certains y parviennent et d'autres non ? Et plus fondamentalement : se change-t-on soi-même en changeant de vie ?[-]
Quitter la ville pour se mettre au vert, se reconvertir, forger un projet qui ait du sens : sept Français sur dix disent envisager de changer de vie. Ce phénomène n'est pas nouveau. Au fil des siècles, nombreux ont été les hommes et les femmes à tout quitter pour tenter d'autres modes d'existence. Mais il semble aujourd'hui relever de l'injonction collective, tant le changement personnel est valorisé par notre société qui célèbre la mobilité, ...[+]

CHANGEMENTEMANCIPATIONAUTONOMIEDEVELOPPEMENT PERSONNELGENETIQUE...

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V
- n° 368 - pp. 39-70
« L'homme est un loup pour l'homme », écrivait Thomas Hobbes. Dans son sillage, beaucoup voient dans l'humain le plus égoïste et cruel des habitants de notre planète. Pourtant, cette image est fausse ; c'est une des grandes découvertes scientifiques récentes. L'empathie est un de nos instincts les plus archaïques. Nos ancêtres lointains aimaient coopérer. Dès sa première année, le bébé manifeste l'intention de consoler un adulte qui a de la peine. Nous ne sommes pas des « Homo œconomicus » mus par le seul intérêt.
L'histoire fourmille d'exemples discrets, mais puissants, de comportements solidaires, des « justes parmi les nations » aux individus anonymes qui accueillent les migrants. En psychologie, en histoire, en relations internationales, en neurosciences, en biologie, les chercheurs ne cessent d'approfondir cette vérité. Ils proposent ainsi un nouveau récit de l'humanité, où les mots « coopération », « altruisme », « solidarité », « bienveillance » jouent un rôle au moins aussi important que ceux de « compétition », « calcul » et « lutte ». [Présentation de l'éditeur][-]
« L'homme est un loup pour l'homme », écrivait Thomas Hobbes. Dans son sillage, beaucoup voient dans l'humain le plus égoïste et cruel des habitants de notre planète. Pourtant, cette image est fausse ; c'est une des grandes découvertes scientifiques récentes. L'empathie est un de nos instincts les plus archaïques. Nos ancêtres lointains aimaient coopérer. Dès sa première année, le bébé manifeste l'intention de consoler un adulte qui a de la ...[+]

EMPATHIECOOPERATIONSOLIDARITEANIMALCOMPORTEMENT...

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